Abécédaire de
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" Aucun événement politique ne peut être correctement appréhendé sans considération de l'implication du Vatican. Et aucun événement d'importance dans le monde ne se produit sans que le Vatican n'y participe, que ce soit de manière explicite ou implicite. " (Avro Manhattan, " Chevalier "de l'Ordre de Malte, Historien britannique / 1960 - Le Vatican et la Politique dans le Monde)
LA REINE D'ANGLETERRE EST LA CHEF DE L'ÉGLISE PROTESTANTE
« Rome du protestantisme ».... Genève, où Jean Calvin s’installe en 1541 et organise « La cité de Dieu ». Protestant : à l’origine, les princes allemands qui ont protesté contre l’excommunication de Martin Luther par le pape en 1520. Ce mot désigne, depuis 1529, tout chrétien appartenant à l’une des Églises issues de la Réforme.
LEURS PLUS GRANDES ARMES SONT:
L E S ______________ R E L I G I O N S
Ces prétendus successeurs des apôtres ont oublié jusqu’à leurs noms et obéissent aveuglément comme le font des soldats et les assassins
Le succès des Jésuites fut fulgurant et dévastateur. En très peu de temps les grands intellectuels de l'Église Catholique se retrouvent tous à l'intérieur de cette Société diabolique. Vers 1582, lorsque la Bible Jésuite fut produite pour détruire la version anglaise de Tyndale et la version française d'Olivetan, les Jésuites dominaient sur 287 collèges et universités à travers l'Europe. Leur système d'éducation et d'entraînement rigoureux était comparé, dans leur Constitution, à réduire un membre comme "un cadavre maniable"; ainsi ils pouvaient tous être manipulé et assujetti à la volonté de leurs supérieurs. Ainsi nous dit, J.M. Nicole (Précis d'Histoire de l'Église)":
"Pour être admis dans la société, il faut d'abord passer par un noviciat sévère, ensuite faire des études prolongées comme "scolastique", puis être un certains temps "coadjuteur spirituel". Après cela seulement, le candidat prononce le quatrième vœu, prend le titre de "profès" et est initié aux "règles secrètes". Les profès sont organisés hiérarchiquement; chacun a "une autorité illimitée" sur ses subordonnés et doit être "docile comme un cadavre" en face de ses supérieurs. A la tête de l'organisation se trouve un général nommé à vie, appelé parfois "le pape noir" à cause de son influence, et qui d'ailleurs est étroitement espionné par d'autres Jésuites ... Par l'ordre des Jésuites, Rome pouvait ainsi opposer au Protestantisme conquérant une forme de Catholicisme tout aussi enthousiaste et tout aussi expansif"
En 1759, le collège sert de caserne à l'armée britannique
Cet ordre n'est pas la plus ancienne société secète, mais une des plus anciennes branches de la société secrète "Order of the Quest" JASON Society, qui existe toujours à l'heure actuelle. Le président de l'ordre de Malte est élu à vie, avec l'accord du pape. Les chevaliers de Malte ont leur propre constitution, ils ont juré de soutenir les membres du Nouvel ordre mondial qui soutiennent le pape. La plupart de ses membres sont membres du CFR et des autres organisations secrètes.
Les Collèges des Jésuites forment les futurs Francs Maçons, les Illuminatis, les Skull and Bones, ..... et autres assassins au service de la Mondialisation ''Reine/Pape''
Sous des déguisements divers, les Jésuites s'insinuaient dans les bureaux de l'État et devenaient conseillers des rois et des chefs des nations et en dirigeaient la politique, comme ils le font encore d'ailleurs aujourd'hui. Ils fondaient des collèges pour les fils des princes et des nobles et, pour le peuple, des écoles, où ils attiraient les enfants de parents protestants, qu'ils accoutumaient à observer les rites de l'Église Catholique. "Cette pratique existe encore dans notre temps moderne, particulièrement ici au Québec" (J.L.). L'ordre des Jésuites se répandit rapidement, comme des "sauterelles" qui se répandant sur la terre; et partout on assistait une renaissance du papisme. Il n'est pas surprenant de voir que la description des Jésuites correspond exactement au symbolisme de l'Apocalypse:
"…des sauterelles qui sortent du puits de l'abîme, qui furent donnés le pouvoir des scorpions de la terre; et qui ont au-dessus d'elles, l'ange de l'abîme appelé Abaddon et Apollyon, l'Exterminateur", (Apo. 9:1-11).
Les Jésuites sont les agents les plus discrets et les plus efficaces de la Papauté; ils sont les champions de sa politique et de l'unité Catholique, des maîtres de la déception, l'armée secrète du Vatican. Ils justifient pleinement le terme choisi par le pape Paul III pour décrire cet ordre: "Regimen Ecclésiae Militantis", le Régiment Ecclésiastique Militaire de la Papauté.
Avec l'aide d'un Directeur, les fils de Loyola se dévouent aux "Exercices Spirituels" et deviennent imprégné de ses forces psychiques dans un but très précis, dévoilé par H. Boehmer (Les Jésuites):
"Nous injectons dans l'homme des forces spirituelles qu'il trouvera très difficile de se débarrasser plus tard; des forces plus tenaces que tous les meilleurs principes ou doctrines. Ces forces reviendront à la surface même après plusieurs années, et deviendront si importantes que la volonté ne pourra plus s'y opposer et elle en suivra les moindres impulsions".
"Pour ajouter à la puissance des Jésuites", nous dit, Edmond Paris (Histoire Secrète des Jésuites): "une bulle papale remit l'inquisition entre leurs mains. Tels étaient les moyens auxquels Home recourait pour éteindre la lumière de la Réforme, et pour enlever aux hommes la Parole de Dieu qui engendrait la liberté de conscience, si longtemps interdite par la Papauté. Ignace de Loyola écrivit lui-même: - Ce que nous voyons noir, nous devons le voir blanc, si l'Église Romaine le dit".
Le grand soulèvement contre la Bible Jésuite
Si puissant fut le Protestantisme lors du règne de la reine Élisabeth, et si fort l'amour pour la version de Tyndale, qu'il ne se trouvait aucune place ni aucun érudit en Angleterre pour produire une Bible Catholique. Les prêtres furent emprisonné pour avoir participé au complot des Jésuites et plusieurs s'enfuirent sur le Continent. Ils y établirent des collèges où ils instruisirent des adolescents anglais naïfs qu'ils renvoyèrent en Angleterre comme prêtre. Deux de ces collèges y envoyèrent environ trois cent prêtres dans l'espace de quelques années.
La Bible King-James fut publié une trentaine d'années après celle de la Reims-Douai et garda la suprématie depuis ce temps. La Reims-Douai fut modifié à plusieurs reprises pour devenir une approximation de la King-James. Le résultat est que la Reims-Douai des années 1600 et celle de 1900 ne se ressemblent point.
Le Nouveau Testament fut publié à Reims en 1582. L'université déménagea à Douai en 1593, où l'Ancien Testament fut publié en 1609-1610, complétant la Bible originale de Reims-Douai. Deux révision furent faites dans l'Ancien Testament et huit dans le Nouveau, représentant des altérations si extensives qu'une autorité Catholique affirma: «La version que nous utilisons maintenant fut tellement altérée que nous ne pouvons la considérer identique à celle qui porte le nom de Douai».
La Bible française des Jésuites
En France, la situation ne fut pas de même qu'en Angleterre. "La France", nous dit Edmond Paris (The Secret History of the Jesuits), "fut le berceau de la Société des Jésuites. En effet, celle-ci fut fondée le jour de l'Assomption 1534, dans la chapelle de Notre-Dame de Montmartre. La France fut aussi la foyer d'une multitude de Sociétés Secrètes telles que les Rose-croix et la Franc-maçonnerie, tous sous le contrôle des Jésuites pour atteindre leur but d'une domination mondiale de la Papauté.
Ce fut dans le but de cet idéal que fut formé sous leur instigation en 1882, l'organisation si bien connue des Chevaliers de Colomb; afin que tous puissent servir aux intérêts du Vatican et à la plus grande gloire de Satan qui siège comme Souverain Pontife.
Le serment secret des Jésuites
"On t'a enseigné à planter insidieusement des semences de jalousie et de haine entre les communautés, les provinces, et les États qui étaient en paix; à les inciter à commettre des actes sanglants; à les provoquer à la guerre les uns avec les autres, et à déclencher des révolutions et des guerres civiles dans des pays qui étaient indépendants et prospères ; à cultiver les arts et les sciences et à jouir des bienfaits de la paix; à te ranger aux côtés des combattants et à agir secrètement avec tes frères Jésuites qui pourraient être engagés dans la partie adverse, tout en étant ouvertement opposés à la cause que tu défends; pour la seule raison que l'Église puisse toujours être du côté des vainqueurs, dans les conditions fixées dans les traités de paix, et parce que la fin justifie les moyens.
"On t'a enseigné à travailler comme un espion, à recueillir tous les faits, statistiques et informations qui sont en ton pouvoir, de toutes les sources possibles; à gagner la confiance des Protestants et des hérétiques de toutes sortes, jusque dans leurs familles ; à gagner la confiance des commerçants, des banquiers, des avocats, de ceux qui travaillent dans les écoles et les universités, dans les Parlements et les législatures, dans les tribunaux et les Conseils d'État, et dans toutes les institutions des hommes, au profit du Pape, dont nous sommes les serviteurs jusqu'à la mort.
"Jusqu'à présent, tu avais reçu tes instructions en tant que novice et néophyte, tu avais servi en tant que coadjuteur, confesseur et prêtre, mais tu n'avais pas été investi de tout ce qui est nécessaire pour commander dans l'armée de Loyola, au service du Pape. Tu dois servir la durée fixée, en tant qu'instrument et exécutant, sous la direction de tes supérieurs ; car personne ne peut commander ici sans avoir consacré ses œuvres par le sang des hérétiques; "car sans effusion de sang, personne ne peut être sauvé."
"Je déclare aussi et je promets que je n'aurai jamais aucune opinion ni volonté personnelles, aucune réserve mentale, même jusqu'à la mort (perinde ac cadaver), mais que j'obéirai sans hésiter à tous les commandements que je pourrai recevoir de mes supérieurs dans la milice du Pape et de Jésus-Christ ; que j'irai dans toutes les parties du monde où je serai envoyé, dans les régions glacées du Nord, dans les jungles de l'Inde, dans les centres de civilisation de l'Europe, ou dans les endroits sauvages où vivent les tribus barbares de l'Amérique, sans murmurer ni me plaindre, mais en étant soumis dans toutes les choses qui m'auront été communiquées.
"Je déclare encore et je promets que, lorsque l'opportunité se présentera, je mènerai une guerre incessante, secrète ou ouverte, contre tous les hérétiques, Protestants ou Maçons, comme on me l'ordonnera, pour les extirper de la face de la terre ; que je ne tiendrai compte ni de l'âge, ni du sexe ni de la condition sociale, et que j'accepte de pendre, brûler, détruire, échauder, écorcher, étrangler et enterrer vivants ces infâmes hérétiques ; que je fendrai les entrailles et le ventre de leurs femmes ; que j'écraserai la tête de leurs enfants contre les murs, afin d'annihiler cette race exécrable ; que, si je ne peux pas le faire ouvertement, j'utiliserai en secret la coupe empoisonnée, la cordelette de strangulation, le poignard, ou la balle de plomb, quels que soient le rang, la position, la dignité ou l'autorité des personnes, leur condition de vie publique ou privée, et comme pourront me le demander à tout moment les agents du Pape, ou le Supérieur de la Fraternité du Saint Père, de la Société de Jésus.
1593. Un élève Jésuite Barrière tente d'assassiner Henri IV.
Et il y a l'Opus Dei pour assurer la relève...
N'oublions pas qu'ils sont toujours des 2 côtés à la fois !
La suprématie de cette «Sainte Mafia» apparût de manière définitive lorsqu'en 1982, le pape Jean Paul II la fit accéder au rang de «prélature personnelle». L'Opus Dei aura donc grandement bénéficié de l'accession à la papauté de Karol Wojtyla, un ami de longue date. La secte contient tous les traits caractéristiques de l'organisation mafieuse: puissance financière, secret, infiltration dans la vie politique.
Lorsque la loge Saint Jean du Secret et de l’Harmonie se reforme en 1788, elle se montre très soucieuse d’établir de solides relations avec l’Angleterre. La correspondance multiplie les formules d’allégeance à la Grande Loge de Londres. Les Frères mettent en avant le « Révérend.me frère Comte de Kollowrat [… qui nous a] déterminé à reprendre sous le régime de la Suprême Loge d’Angleterre nos travaux ». C’est lui qui est chargé de présenter et de défendre le dossier devant les anglais avec lesquels il semble avoir un contact privilégié23. Mais le Frère de Kollowrat n’est pas seulement le garant de l’axe Londres-Malte, il entretient aussi des relations étroites avec d’autres foyers maçonniques européens. Ainsi, quelques années auparavant il a été un acteur d’un événement important pour les Maçonneries française et allemande. On a en effet la surprise de découvrir sur le « Tableau des députés composants le Convent Général des Francs-maçons réunis sous le Régime rectifié assemblés à Wilhelmsbad depuis le 16 juillet jusqu’au 1er septembre 1782 […] Le Rev. Fr. Comte de Kolowrat Liebstein, Chambellan de S.M. Impériale, in O. Fr. Franciscus Eq. Ab Aquila fulgente, muni des pleins pouvoirs du Chapitre de St. Hypolite à Vienne & de Hermandstadt en Transylvanie »24.
La Société Olympique émanation de la loge L’Olympique de la Parfaite Estime compte neuf princes, treize ducs, cinquante-cinq marquis, cinquante-sept comtes, dix-neuf vicomtes, treize barons… dont dix-sept chevaliers de Malte, parmi lesquels le grand Suffren. Les loges La Candeur très liée aux Orléans ou Le Contrat Social alignent aussi leur lot de Maltais.
SORCIÈRES REINES
La famille royale britannique a consommé de la chair humaine
La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans…)
La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans – d’après ce que dit cet article du Daily Mail en tout cas…)
Par FIONA MACRAE
Dernière mise à jour à 00h58 le 21 mai 2011
Ils ont longtemps été connus pour leur amour des banquets somptueux et des riches recettes. Mais ce qui est moins connu, c’est que la famille royale britannique avait également un penchant pour la chair humaine.
Un nouveau livre sur le cannibalisme médicinal a révélé que peut-être aussi récemment que la fin du 18ème siècle la royauté britannique ingérait des morceaux de corps humain.
L’auteur ajoute que ce n’était pas une pratique réservée aux monarques, mais que cette dernière était répandue parmi les gens aisés en Europe.
Le cannibalisme médicinal: Tant la reine Mary II que son oncle le roi Charles II ont consommé du crâne d’homme distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon le Dr Sugg.
Le cannibalisme médicinal: Tant la reine Mary II que son oncle le roi Charles II ont consommé du crâne d’homme distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon le Dr Sugg.
Alors qu’ils dénoncaient les cannibales barbares du Nouveau Monde, ils appliquaient, buvaient, ou portaient de la poudre de momie égyptienne, de la graisse, de la chair, des os, du sang, de la cervelle, et de la peau humaine.
De la mousse prélevée sur le crâne de soldats morts a même été utilisée comme remède dans les saignements de nez, selon le Dr Richard Sugg de l’Université de Durham.
Le Dr Sugg, a déclaré: « Le corps humain a été largement utilisé comme agent thérapeutique, les traitements les plus populaires incluant chair, os, ou sang. »
« Le cannibalisme a été pratiqué non seulement dans le Nouveau Monde, comme on le croit souvent, mais aussi en Europe.
« Une chose qu’on nous enseigne rarement à l’école, alors que les textes littéraires et historiques de l’époque en attestent, est la suivante: James I a refusé la médecine par les corps; Charles II a transformé son propre corps en médecine, et Charles I a été transformé en médecine par les corps.
« Avec Charles II, les utilisateurs ou prescripteurs éminents incluaient François Ier, le chirurgien d’Elizabeth I John Banister, Elizabeth Grey, la comtesse de Kent, Robert Boyle, Thomas Willis, William III, et la reine Mary.
Nouveau monde: Représentation de cannibalisme dans la tribu Tupinamba du Brésil tel que décrit par Hans Staden en 1557. Que ceci soit vrai ou non, le mythe a ignoré le fait que les Européens consommaient de la chair humaine.
L’histoire du cannibalisme médicinal, fait valoir le Dr Sugg, a soulevé un certain nombre de questions sociales importantes.
Il dit: « le cannibalisme médicinal s’est servi du poids formidable de la science européenne, de l’édition, des réseaux commerciaux, et de la théorie informée.
« Alors que la médecine par les corps a parfois été présentée comme une thérapie médiévale, elle était à son comble lors des révolutions sociales et scientifiques du début de la Grande-Bretagne moderne.
« Elle a survécu jusqu’au 18ème siècle, et parmi les pauvres, elle a persisté obstinément à l’époque de la reine Victoria.
« Indépendamment de la question du cannibalisme, l’approvisionnement en parties du corps nous semble désormais très contraire à l’éthique.
« À l’apogée du cannibalisme médicinal, des corps ou des os ont été systématiquement extraits de tombeaux égyptiens et de cimetières européens. Non seulement cela, mais jusqu’au dix-huitième siècle la plus grande part des importations en provenance d’Irlande en Grande-Bretagne étaient constituée des crânes humains.
« Que tout cela ait été pire ou non que le marché noir contemporain d’organes humains est difficile à dire. »
Cette peinture de l’exécution de Charles Ier en 1649 montre des gens se précipitant pour récolter le sang de l’ancien roi. On pensait que ce dernier avait des propriétés curatives.
Le livre donne de nombreux exemples vivants, et souvent dérangeants, de la pratique, allant des échafaudages d’exécution en Allemagne et en Scandinavie, aux tribunaux et laboratoires d’Italie, de France et Grande-Bretagne, aux champs de bataille de Hollande et d’Irlande, et aux tribus anthropophages des Amériques.
Un tableau représentant l’exécution de Charles I 1649 montrait des gens récoltant le sang du roi avec des mouchoirs.
Le Dr Sugg dit: « Cela a été utilisé pour traiter le « mal du roi » – un problème plus souvent guéri par le contact avec des monarques en vie. »
« En Europe continentale, où la hâche tombait systématiquement sur le cou des criminels, le sang était le traitement de choix pour de nombreux épileptiques.
« Au Danemark, le jeune Hans Christian Andersen a vu des parents faire boire à leur enfant malade du sang à l’échafaud. Ce traitement était si populaire que les bourreaux demandaient régulièrement à leurs assistants de recueillir le sang dans des coupes alors qu’il jaillissait du cou des criminels mourants.
« Parfois, un patient pouvait court-circuiter ce système. Lors d’une exécution au XVIe siècle en Allemagne, « un vagabond saisit le corps décapité » avant qu’il retombe, et en bu le sang.. ». »
La dernière instance enregistrée de cette pratique en Allemagne s’est produite en 1865.
Histoire: L’auteur le Dr Richard Sugg, de l’Université de Durham, plonge dans l’univers sombre du cannibalisme médicinal dans son nouveau livre « Momies, Cannibals and Vampires » (momies, cannibales et Vampires).
Alors que Jacques Ier avait refusé de prendre du crâne humain, son petit-fils Charles II aima tellement l’idée qu’il acheta la recette. Ayant payé peut-être £ 6,000 pour cela, il distillait souvent du crâne humain lui-même dans son laboratoire privé.
Dr Sugg dit: « En conséquence connu depuis longtemps sous le nom de « gouttes de roi », ce remède fluidique a été utilisé contre l’épilepsie, les convulsions, les maladies de la tête, et souvent comme un traitement d’urgence pour les mourants.
« Ce fut la toute première chose que Charles rechercha le 2 Février 1685, au début de sa dernière maladie, et qu’on lui administra, non seulement sur son lit de mort, mais sur celui de la Reine Mary en 1698.
Les recherches du Dr Sugg seront présentées dans un prochain documentaire de Channel 4, avec Tony Robinson, dans lequel ils reconstituent des versions de traitements cannibales plus anciens à l’aide de cervelles, sang, et crâne de porcs.
Le livre, intitulé « Mummies, Cannibals and Vampires » (momies, cannibales et Vampires) sera publié le 29 Juin par Routledge, et retrace l’histoire de la médecine européenne en grande partie oubliée du cadavre, de la Renaissance à l’époque victorienne.
Voir également cet article du Dr Sugg dans le journal médical The Lancet.
Source: dailymail
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