Abécédaire de
Pour les visuels, cliquez ici ----> Humanité Reine
L’Inquisition, cet outil sanglant par lequel la Papauté imposa la soumission tant aux rois qu’au commun des mortels, sévit en Europe pendant plus de six cents ans. Plus de cinquante millions de personnes furent torturées et mises à mort, et leurs terres et leurs biens furent confisqués au profit du trésor papal (6). Personne n’était exempt.
le pape Grégoire XVI condamne:
l’exercice de la liberté de conscience.
Il condamne spécifiquement la liberté
de la presse, la liberté d’association,
la liberté d’enseignement, la souveraineté
du peuple et le suffrage universel.
Dans son encyclique du 8 décembre 1864, Quanta Cura, Pie IX réaffirme "le rôle prépondérant de l’Église dans la société. Il condamne la souveraineté du peuple, la suprématie du pouvoir civil, la liberté de conscience, la liberté de la presse et l’élargissement du droit de vote à tous les citoyens".
Durant la période fasciste, en Italie, sous le pontificat de Pie XI, les liens entre l’Église et l’État deviennent de plus en plus étroits.
Jean XXIII (La documentation catholique, 15 mars 1959): "Pour Nous, Nous ne Nous écartons pas, à l’égard de la très estimable nation allemande, de l’exemple qui Nous a été donné par Notre prédécesseur (Pie XII)…"
En respect avec le tiers monde, Harland Cleveland du Club de Rome prépara un rapport qui fut d’un très grand cynisme. A ce moment, Cleveland était un Ambassadeur des Etats Unis à l’OTAN. Essentiellement, le papier dit qu’il serait du ressort des nations du Tiers Monde de décider parmi eux quelles populations devraient être exterminées. D’après une lettre écrite par Peccei (basé sur le rapport Cleveland, Cleveland Report): “Endommagés par des conflits politiques de trois pays et blocs majeurs, rassemblés grosso modo ici et là, l’ordre économique international existant est visiblement entrain de se noyer.. La nécessité du recours à la sélection décidant qui doit être sauvé est très morose effectivement. Mais, si lamentablement, les évènements comme cela devaient se passer, les droits de faire de telles décisions ne peuvent être laissés à juste quelques nations parce que cela les amèneraient à un pouvoir sinistre sur la vie et la faim dans le monde.”
la Banque mondiale notait que « si le seul effet de l’épidémie du sida était de réduire le taux de croissance démographique, ceci accroîtrait le taux de croissance des revenus par tête ». 2) La possibilité scientifique de créer artificiellement le VIH, en cultivant dans des tissus humains des virus de singe lui ressemblant, ne fait pas de doute. Dès la fin des années 70, des recherches et des expériences de ce type se déroulaient dans des zones où le VIH allait apparaître par la suite.
La manière dont le sida est apparu et s’est répandu, ainsi que de nombreux aspects de sa propagation ultérieure en Afrique et ailleurs, ne correspondent pas au phénomène d’émergence spontanée de maladies naturelles, mais relèvent d’une manipulation artificielle. 4) L’idée naïve selon laquelle « personne ne serait assez fou » pour créer ou répandre délibérément un virus mortel comme le VIH est réfutée par la réalité évoquée ci-dessus, à savoir que des tentatives d’enrayer le sida ont été consciemment sabotées par des représentants de l’oligarchie désireux de réduire « par tous les moyens » la population mondiale. Une enquête internationale de haut niveau devra être menée pour déterminer qui est responsable du génocide provoqué en Afrique par l’épidémie du sida. Entre-temps, il faut immédiatement lancer une mobilisation d’urgence, pour sauver l’Afrique et l’ensemble du monde du processus en cours.
Le Développement Durable : la ruse de Maurice Strong.
Le projet a été approuvé par le Congrès en 1969, sous le numéro de code H.B.15090. 10 millions $ ont été versés pour la première tranche. Des témoignages devant la commmission de Sénat ont révélé qu'un « agent synthétique et biologique devait être développé, un agent qui n'existe pas dans la nature et contre lequel l'organisme est incapable de produire des anticorps. Il doit être possible de développer ce micro-organisme dans les 5 à 10 ans à venir Il est primordial qu'il soit résistant à tout processus immunologique et thérapeutique connu ». Sir Julian Huxley dit à ce sujet: « La surpopulation est la plus grande menace que notre espèce aura à affronter dans le futur ».
Le projet SIDA, qui porte à ce moment-là le nom de MK-NAOMI, a été élaboré à Fort Dertrick, dans le Maryland. D'après les explications du Dr. Strecker, on a mélangé des rétrovirus mortels, des virus de leucémie, (bovin leikemia) avec des virus « visna » du mouton, et on les a injectés dans du tissu humain.
L'OMS (Organisation Mondiale de la santé) a collaboré à ce projet, aux côtés du National Cancer Institute. Des articles ont été publiés, pour inciter les chercheurs à développer un virus mortel pour l'homme. En 1972, l'OMS publiait ce genre de propos: « Nous faisons des recherches pour savoir si certains virus peuvent agir sur les fonctions immunitaires. Il faut inclure la possibilité que la réaction immunitaire face au virus diminue, si le virus endomageait les processus antiviraux de la cellule ».
Pour l'exprimer plus simplement il faudrait dire: « Développons un virus qui peut détruire les cellules-T quand on l'administre de façon volontaire ».
récompensé du prix Nobel, mais il peut s'estimer heureux de ne pas avoir été victime d'un suicide (le suicide typique, c'est le célèbre chercheur californien qui s'est ligoté les mains dans le dos, s'est pendu et a sauté ensuite du 20e étage. Aucune trace indiquant une intervention extérieure n'a été retrouvée […] )
En 1978, une partie de la population américaine a été contaminée, à travers le vaccinn contre l'hépatite B. Le Dr Wolf Schmugner, l'ancien compagnon de chambre de Jean Paul II, a été l'instigateur de cette opération, réalisée par le “Center for Disease Control“, de novembre 1978 à octobre 1979, et de mars 1980 à octobre 1981. Schmugner est né en Pologne, il a fait ses études en Russie et a ensuite immigré aux États-Unis, en 1969. Par des chemins détournés, il a été nommé directeur de la banque du sang new-yorkaise. C'est lui qui a dispersé le virus du Sida sur l'Amérique du Nord. Il était responsable de la campagne de vaccination contre l'hépatite B, c'est lui qui a décidé du mode d'application, à commencer par les homosexuels. Par voie de petites annonces, on cherchait des homosexuels mâles de 20 à 40 ans. Ce qui a provoqué le Sida était contenu dans le vaccin, était fabriqué à Phoenix, en Arizona et était conditionné en bouteille. Toutes les données sur cette campagne de vaccination sont entre les mains du ministère de
la Justice, où elles sont à l'abri pour longtemps.
la Haig-Kissinger-Depopulation Policy appliquée par le State Department. La directive précisait que les pays du tiers-monde devaient entreprendre des actions efficaces pour réduire leur population et la contrôler, pour pouvoir continuer à bénéficier des aides des États-Unis. Si un pays devait contrevenir à cet ordre, il verrait bientôt éclater une guerre civile, montée de toute pièce par
la CIA. C'est une des raisons qui font qu'au Nicaragua, au Slvador et dans d'autres pays, plus de jeunes femmes que de soldats ont été tuées. Dans les pays catholiques, ce sont les Jésuites qui ont fomenté les guerres civiles. Le Haig-Kissinger-Depopulation Policy a été soutenue par les gouvernements successifs, elle est devenue partie intégrante de la politique extérieure américaine. Tous lles moyens sont bons pour réduire la population du globe, la guerre, la famine, les épidémies, les stérilisations de masse, par l'USAID par exemple. L'organisme de planification ne se trouve pas à l'intérieur des murs de
la Maison Blanche. Cette commission s'appelle Ad Hoc Group on Population Policy, elle dépend du National Security Council. L'état-majo est au State Departement's Office of Population Affairs, créé en 1975 par Henry Kissinger, alors ministre des Affaires Étrangères. C'est le même groupe qui a rédigé le rapport Global 2000, remis entre les mains du président d'alors Jimmy Carter.
Voici la version intégrale -------
Le projet MK-NAOMI a été développé par des chercheurs de la Special Operations Division (SOD), à Ft. Detrick, Maryland, sous l'égide de la CIA. Mais le Sida est trop lent. À l'automne 1994, nous avons rencontré le Dr John Coleman à Honolulu, l'auteur du livre le comité des 300 et ancien agent du MI 6 britanique. Coleman explique que le « nouveau » virus a été testé pendant un an dans un pays d'Amérique du Sud, et qu'il pourrait être lâché dans la nature au printemps 1995. Quand il deviendra vraiment actif, on pourra dire: « infecté le matin, mort le jour même ». Ce virus là est transmissible par la salive.
Les fabriquant de vaccins, secondés par le corps médical qui a accepté le principe vaccinal sans discussion ou réserve, ont accompli un tour de force dans le domaine de la désinformation et du mensonge. Un fait sans précédent dans l'histoire de l'humanité : faire croire à l'efficacité et à l'innocuité de ce principe inventé par Jenner et repris à son compte par Pasteur, alors qu'il ne repose sur aucune base scientifique sérieuse.
On sait aujourd'hui, 100 ans après son décès, que Pasteur fut un génie de la tricherie, du plagiat. du trucage des statistiques, du trafic d'influence, de la publicité bien orchestrée et que, assoiffé d'honneurs et d'argent, ses différentes expérimentations vaccinales étaient truquées, selon l'aveu même de ses collaborateurs.
Vous n'êtes toujours par convaincu sur la philosophie profonde des écologistes ? Voici une citation de Maurice Strong, le créateur du mouvement "New age" qui est à l'origine de la mouvance "verte" américaine. Il était encore, jusqu'en 2005, le conseiller spécial de Kofi Annan, lui-même secrétaire général de l'ONU, pour les questions environnementales (avant de s'expatrier en Chine). Strong a mis sur pied et dirigé la mise en place en place des protocoles de Rio de Janeiro et de Kyoto. Strong a dit en public :
"We may get to the point where the only way of saving the world will be for industrial civilization to collapse"
En français : "Il est possible que nous en arrivions au point où, pour sauver le monde, la solution sera l'effondrement de la civilisation industrielle".
Poursuivant son raisonnement, Maurice Strong donne des recettes pour parvenir à ces fins. Il cite, en particulier "quest of poverty...reduced resource consumption... and set levels of mortality". Soit, en français : " recherche de la pauvreté...réduire la consommation des ressources...et installer des normes pour la mortalité".
- Voici maintenant une citation de Tim Wirth, un proche du précédent à l'ONU, cette fois-ci, quand il était sénateur du Colorado, USA. Il était aussi le sous-sécrétaire d'Etat US pour les problèmes du globe, sous Clinton:
" We have got to ride the global warming issue. Even if the theory of global warming is wrong, we will be doing the right thing, in terms of economic policy and environmental policy.
En français " Nous devons enfourcher le cheval de bataille du réchauffement climatique. Même si la théorie du réchauffement climatique est fausse, nous ferons ce qui est bon aussi bien pour l'économie que pour la politique environnementale"
N'oublions pas le célèbre Club de Rome qui demeure la source d'inspiration privilégiée de la plupart des "écologistes" de la deep ecology. Parmi les français adeptes des rapports du Club de Rome, figure notamment J-M Jancovici, le conseiller de Nicolas Hulot et l'expert en calcul "d'empreintes carbone". Le Monde du jeudi 25 octobre 2007 confesse, dans une page dédiée, qu'un livre de chevet de Jancovici est le rapport du Club de Rome publié en 1972.
Voici quelques citations tirées des publications du Club de Rome. Vous en trouverez d'autres, du même tonneau, dans le Financial Times. De même, L'Agenda 21 de l'ONU reprend un grand nombre de ces idées.
" En recherchant un nouvel ennemi qui pouvait nous unir, nous en sommes arrivés à l'idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, la raréfaction de l'eau douce, les famines et les choses de ce genre, pourraient faire l'affaire... Tous ces dangers résultent de l'intervention humaine et ce n'est qu'en changeant d'attitude et de comportement qu'on peut en venir à bout. Dès lors, le véritable ennemi c'est l'humanité elle-même"
Plus loin dans le même livre : "La démocratie n'est pas la panacée. Elle ne peut pas tout organiser et elle est inconsciente de ses propres limites. On doit voir les choses en face. Aussi sacrilège que cela puisse paraître, la démocratie n'est plus adaptée pour résoudre les taches qui nous attendent. La complexité et l'aspect technique de beaucoup de problèmes actuels ne permettent pas à des élus de prendre des décisions compétentes en temps voulu." (Tout cela qui se passe de commentaires, se trouve dans "La Première Révolution Globale, pp.104-105 et suivantes, publié par le Club de Rome,").
Par exemple celle de notre célèbre Jacques Y. Cousteau qui a eu le grand mérite de faire connaître la mer à ses contemporains mais qui était aussi un écologiste Malthusien extrémiste. Il a affirmé que " Pour stabiliser la population mondiale nous devons éliminer 350.000 personnes par jour.C'est horrible à dire mais c'est aussi horrible de ne pas le dire" (Courrier de l'Unesco).
Ou encore, ces déclarations de leaders de "Terre d'abord.": de Christopher Manes "Il est possible que l'extinction de l'espèce humaine ne soit pas inévitable mais aussi une bonne chose".
De John Davis, éditeur du journal "Terre d'abord": "J'imagine que l'éradication de la variole a été une mauvaise chose. Elle jouait un rôle important dans l'équilibre de l'écosystème".
Le Prince Philip d'angleterre, Président du WWF, a des idées si arrêtées sur la présence de l'homme sur cette planète qu'il a déclaré : Si j'étais réincarné, je souhaiterais renaître sur terre sous forme de virus mortel afin de faire baisser le niveau de la population mondiale..." Ref : Prince Phillip, Duke of Edinburgh, in 'Are You Ready For Our New Age Future?' Insiders Report, American Policy Center, December 1995.
etc...
Le Prince Bernhard des Pays Bas a été le président fondateur des Bilderbergers. On y retrouve entres autres le Dr Henry Kissinger, David Rockfeller, et Gianni Agnelli. Le premier meeting a eu lieu en mai 1954.
Dans un ouvrage intitulé Le profezie di Papa Giovanni XXIII (Les prophéties du pape Jean XXIII) paru en 1976, Pier Carpi décrit un évènement qui se déroula en 1935. Lors d’un rituel d’initiation dans un temple rosicrucien, un frère se mit à parler avec une voix qui n’était pas la sienne. Le Chancelier de l’ordre nota les paroles de ce frère: « …les lumières du ciel seront rouges, bleues et vertes. Et elles seront rapides. Quelqu’un venant de très loin désire nous rencontrer, le Fils de la Terre. Et il y a déjà eu des rencontres. Mais ceux qui les ont réellement vus sont restés silencieux. » Ce frère était Angelo Roncalli, évêque de Bergame, en Italie, qui des années plus tard allait devenir le pape Jean XXIII.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire