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vendredi 11 novembre 2011

COQUELICOT...... aucun pavot n'est pas toxique

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En France, l'intention stupéfiante avec le pavot ou l'un de ses dérivés est soumise aux règlements sur les stupéfiants prévoyant emprisonnement et amendes. Les désordres sociaux (familiaux, médicaux, dépendance, économiques, conduite d'abandon...) relatifs à son utilisation peuvent être soumis aux injonctions administratives et judiciaires (droits parentaux, injonction thérapeutique, obligation de sevrage ou de substitution, suivit médical et social, présentation régulière à la police ou à la justice). Un remède à base de pavot ou de l'un de ses dérivés ne peut être attribué par un tiers non médecin hors du cercle du foyer et en toute connaissance de cause. Il ne peut faire l'objet de commerce. L'usage et la détention de certains dérivés sont interdits (héroïne, pâte à fumer, concentrés...). Aucun usage stupéfiant n'est permis. L'intoxication par le pavot ou l'un de ses dérivés peut dépendre à la fois de l'usage des stupéfiants comme de l'usage avec ou sans préméditation des poisons.


On note que Jésus refuse de boire ce breuvage altéré qui ne saurait, selon cette lecture, se substituer ou influencer sa passion puisqu'il en est lui-même le principe)

Le coquelicot est également utilisé dans la sorcellerie sous l’appellation d’« Onguent infernal » aux vertus hallucinogènes. Cet Onguent était composé de graisse humaine, de haschisch supérieur, de fleurs de chanvre, de coquelicot, de racine d’hellébore pulvérisée et de graines de tournesol.
Toutes les variétés de pavot somnifère ont été utilisées, parfois indifféremment, en officine dans la confection d'extraits (teinture, laudanum, sirop, extrait sec, opium...), depuis le simple pavot des jardins jusqu'à des formes gigantesques de pavots blancs et noirs développés dans un but médical, narcotique ou ornemental.

La présence d'agents narcotique dans la tige fut mise accidentellement en évidence au XIXe siècle après avoir tenté de la donner comme nourriture fourragère au bétail sous l'impulsion de travaux universitaires, notamment aux cochons qui ont alors montré des signes inattendus d'intoxication. C'est à la fin du XIXe siècle que le pavot européen utilisé en agriculture pour ses graines alimentaires sera estimé à nouveau pour produire la morphine puis la codéine qui ont dès lors pu remplacer jusqu'à sa quasi totalité l'opium officinal importé des pays producteurs. L'enjeu était économique et permettait aussi de s'affranchir des enjeux politiques des guerres de l'opium puis de mieux appréhender les conventions sur les stupéfiants et leur maîtrise.L'usage exclusif d'opium importé avait supplanté le prétendu usage médical du pavot entre le XVIIe et le XIXe siècle en faisant oublier son potentiel médical.

La paille était considérée jusqu'alors comme un déchet peu maniable ou non viable de l'agriculture mais la chimie et l'industrie lui ouvrirent des perspectives nouvelles, allant de la médecine jusqu'à des formules de pesticides (qui ne sont plus employées, telles des mort-aux-rats, dont le nom était même devenu dans le langage populaire synonyme de morphine en tant que poison mortel). La décoction des têtes de pavot vendues comme produit de droguerie, notamment en Angleterre, pouvait être la base de préparations domestiques à vocation pesticide, tout comme le tabac. Industriellement, l'usage de la tige (généralement les 2/3 supérieurs de la plante) compense la petite taille des fruits et incrémente à plus du double la production des alcaloïdes totaux. Ces derniers sont aujourd'hui extraits de la paille, isomérisés en thébaïne puis transformés à nouveau en alcaloïdes désirés atteignant alors un degré pur avec une rentabilisation maximale de la plante. En France, une seule société, la Francopia, accrédite les exploitants de pavot et le type de variétés qui servent à la production de médicaments.

Toute la plante est toxique...... Le coquelicot n'attire pas les prédateurs car sa sève est toxique. Il a longtemps été une source très importante d'huile alimentaire, particulièrement en Europe, et ce n'est qu'au XIXe siècle que l'opium - et non pas le pavot en lui-même (sa décoction médicale ou ses sirops par exemple) - fut envisagé comme un stupéfiant en Occident.

Attention!!... le coquelicot peut devenir toxique en entrainant de la somnolence et des hallucinations. Sa culture ornementale se montre par endroit discrète en raison de la symbolique et de la morale qui lui sont attachées mais aussi de sa toxicité accidentelle (intoxication d'enfants) ou même des risques de convoitise. Il y a donc dans le pavot une notion de précaution qui couronne sa personnalité très emblématique. Leurs vertus curatives satisfaisantes chez l'adulte et considérées, non sans risque, administrables aux enfants.

Elles ont cependant été à l'origine d'intoxications mortelles chez les nourrissons (assimilées primordialement et à tort à des morts subites) et les enfants quand il était d'usage de les faire infuser dans leur lait pour soulager leurs maux ou les garder endormis le temps où les parents travaillaient (Nord de la France, régions minières, surtout au XIXe siècle). Les médecins avaient par ailleurs alerté sur des observations de retard musculaire et cognitif chez les enfants régulièrement intoxiqués au pavot.

Toutes les variétés de Papaver somniferum contiennent des alcaloïdes opiacés dont les plus connus sont la codéine et la morphine. Cette dernière, outre la production à but thérapeutique pour ses effets analgésiques, fait l'objet d'un trafic illicite essentiellement destiné à sa transformation en un opiacé synthétique : l'héroïne.
Le pavot oriental.... C'est plus spécifiquement l'espèce papaver bracteatum (un nom générique des grands orientalis présentant des bractées foliacées) qui avait été mise en valeur par l'administration de Richard Nixon pour remplacer le pavot somnifère dans l'industrie pharmaceutique. Cependant la découverte de Kenneth W. Bentley d'une série de dérivés de la thébaïne (la série de Bentley) beaucoup plus forts que la morphine (buprénorphine, étorphine, oripavine... Certains sont plus de 3.000 et même 10.000 fois plus puissants que la morphine, mais parfois très toxiques) firent craindre aux administrations une transformation beaucoup plus avantageuse de la plante par les laboratoires clandestins en ces substances, au bas mot 10 à 100 fois plus productives que la transformation du pavot somnifère en héroïne, ce qui fit abandonner alors l'idée de répandre ce type de pavot.

Coquelicot ou pavot rouge: c'est une drogue. Le pavot, a des effets narcotiques dus aux alcaloïdes qu'il contient. Les feuilles ou les pétales séchés sont aussi utilisés à la place du cannabis par certaines personnes; cependant l'usage n'en est pas très répandu.


Papaver somniferum L. subsp. somniferum

Le pavot opium officinal (dont l'opium sec doit posséder selon le critère actuel le plus précisément 10% de morphine) est devenu un repère pharmaceutique pour mesurer l'opium et quantifier la capacité thérapeutique des pavots dès le XVIe siècle et plus scientifiquement au XIXe siècle. C'est un pavot blanc, parfois noir, à moyenne ou grande coque, sélectionné pour sa rentabilité, son adaptation constante aux climats sous lesquels il est cultivé et qui produit au moins 30 mg d'opium extractible manuellement par capsule pour en permettre la récolte. Il contient généralement le taux maximum de morphine dans sa paille, soit 0.5%,

Graines de pavot blanc

Le pavot blanc (= anc. Papaver somniferum L. var. album DC. ) est encore appelé le pavot à opium et n'est aujourd'hui que très rarement cultivé. Il est directement lié à la responsabilité des pouvoirs publics depuis la convention internationale de l'opium de 1912 et les conventions uniques sur les stupéfiants (et les substances psychotropes) de 1961 et 1971. Certains pays l'interdisent dans la loi, d'autres par arrêté. Ses interdictions peuvent s'étendre à l'ensemble des autres grands pavots.

Le codex médical préconisait au XIXe siècle son utilisation chez l'adulte à la hauteur d'un à huit grains par jour, le grain renfermant lui-même 3 à 6 mg de morphine selon la qualité standard de l'opium alors employé (6 à 12% de morphine).

Les formes les plus volumineuses, notamment asiatiques et japonaises[17] peuvent produire plus de 200 mg d'opium à 15% par fruit et jusqu'à 40 mg de morphine au totale (fruit sec de 8 grammes en moyenne, certains peuvent atteindre plus de 12 grammes). Les variétés les plus utilisées pour leur rendement produisent autour de 80 à 100 mg d'opium par fruit de 3 à 4 grammes.

D'aspect assez identique au pavot à graines bleus, les siennes sont blanches, de taille et de forme identiques, et ne présentent pas d'aussi bonnes vertus oléagineuses et gustatives. Son opium est abondant. C'est de ce pavot que l'on a tiré l'opium stupéfiant et médical qui fut à la fois le plus grand vecteur des progrès et des découvertes de la médecine (comme l'indiquait notamment le médecin Thomas Sydenham au XVIIe siècle) autant que l'un de ses plus singuliers défis sanitaires qui amena pour la première fois à devoir légiférer sur les produits stupéfiants toxiques au début du XXe siècle.

Les pavots peuvent renfermer 1 à 4% d'opium sec (5% pour le pavot officinal sélectionné) contenant des taux communs de 3 à 12% de morphine et une grande variabilité d'autres alcaloïdes. elles peuvent renfermer 1 à 4% d'opium sec (5% pour le pavot officinal sélectionné) contenant des taux communs de 3 à 12% de morphine et une grande variabilité d'autres alcaloïdes.

Les variétés stupéfiantes des pavots blancs de sélection afghane utilisées exclusivement par les narco-trafiquants, donnent un opium exceptionnellement riche de 20% de morphine ; l'opium moins bien toléré des œillettes bleues peut atteindre un taux lui aussi très fort de 16% malgré une faible présence de ce suc dans la plante.
Le narcotisme désignait l'état dans lequel pouvait se trouver un patient ayant absorbé une trop forte dose par erreur et s'accompagne des effets secondaires courants des opiacés : nausée et vomissements, sédation, tremblement, frissons, somnolence, difficultés d'endormissement, difficultés au lever, démangeaisons cutanées, constipation... La prise de 4 grains (212 mg) d'opium par jour s'avéra la dose seuil selon l'apparition des effets secondaires chez l'adulte et détermina les usages des prescriptions courantes ainsi que les indications du codex. Il ne fut accordé et observé que peu de valeur addictive ou récréatives à l'opium dans le cadre médical. L'usage détourné ou prolongé des formes médicales ne surviendra qu'avec la prise de conscience de l'usage de l'opium sous ses formes stupéfiantes. L'apparition de certaines formes médicales se confondit cependant avec les usages narcotiques assidus et importants.
Le pavot oriental se montre beaucoup plus productif tout en gardant une composition assez semblable à celui du pavot setigerum.

Naturellement il nous serait difficile de consommer car il possède aussi un fort pourcentage de codéine et de divers agents histaminiques qui limitent les mésusages par leurs effets indésirables, notamment en fumée et en transformation injectable qui font apparaître d'importantes démangeaisons et des bouffissures du visage, même transformé en héroïne (cas de l'héroïne artisanale russe, ou kompot, demandant une adjonction quasi systématique d'antihistaminiques). Hélas, l'industrie pharmaceutique a appris à le purifier et le transformer, à travers une variété de pavot qui a bénéficié dès le Moyen Âge: taille limitée des capsules, présence d'agents antagonistes agissant en cas de surdosage, dosage connu et identifiable par les usages traditionnels, pas de faveur chez les opiomanes usant de fortes doses ou de voies directes, capacité thérapeutique fiable. Ils ont trompé nos instincts naturels ainsi!


Les femmes ... enceintes ou allaitant ne devraient pas consommer de préparation à base de feuilles de coquelicot. Attention : ne jamais consommer les fruits de la plante, ils sont toxiques.


L'héroïne, ou diacétylmorphine, n'est pas un alcaloïde de l'opium : elle est synthétisée chimiquement, par réaction avec l'anhydride acétique en présence d'acétone, à partir de la morphine plus ou moins raffinée.


À la fin du XIXe siècle, avec la banalisation et l'usage concentré des remèdes à base de pavot, d'opium puis de morphine, l'agent héroïque du pavot - signifiant l'agent actif d'une substance et qui est ici la morphine - commença à générer des usages quotidiens et des dépendances qui caractérisent l'intoxication morphinique et qui se traduisent par un besoin d'augmenter les doses alors que l'effet décline et se montre même déficient, c'est-à-dire en état de manque entre les prises quand elles ne sont plus augmentées puis rapprochées. La diacéthylemorphine se montra lors de sa découverte le remède à ce manque que les usagers en addiction trouvaient douloureux et handicapant, qu'ils n'arrivaient plus à combler et qu'elle avait visiblement la capacité de soulager en permettant de retrouver des effets compensateurs. La diamorphine prit donc le nom symbolique, primordialement en Allemagne, de l'agent héroïque ou substance active ultime que l'on pensait même soigner du mal du pavot couronné : héroïne. Il s'avéra que sa toxicomanie était en fait plus forte, son action dopaminique plus importante et que le manque par accoutumance ou par abstinence survenait lui aussi et avec d'autant plus d'intensité. Elle se montre 1.5 fois plus puissante qu'elle dans ses effets narcotiques généraux avec une efficacité encore 2 à 3 fois supérieure dans sa profondeur analgésique ou encore ses effets sujets à une dépendance. Il est donc possible de combler l'effet narcotique ou de manque de 30 à 45 mg de morphine avec seulement 10 mg d'héroïne (contre 20 à 30 mg pour le même effet narcotique) qui ne présente pas à cette dose et dans un contexte de substitution, d'effet narcotique ni stupéfiant. En revanche, l'usage de l'héroïne à des doses narcotiques se montre dès lors 2 à 3 fois plus accrochant que celui de la morphine ou de l'opium (et la codéine 3 à 5 fois moins que la morphine à dose narcotique équivalente ou considérée comparables malgré leurs différences, 200 mg pour 30 mg).


La 6-(mono)acéthylemorphine, ou 6-MAM, qui ne doit pas être confondue, n'est pas une héroïne mais en présente les vertus et elle est en outre le métabolite intermédiaire entre la diamorphine absorbée et la morphine disponible dans l'organisme. Elle se montre plus active que la diamorphine. Elle est aléatoirement obtenue par l'acidification par le vinaigre de la décoction ou par teinture dans le vinaigre qui transforme ainsi certains alcaloïdes tout en les suspendant par action acide sous forme de sels (alors rapidement assimilables par digestion).


Rappelons enfin que si l'usage interne du pavot existe toujours de manière traditionnelle en France et à travers le monde, que ce soit dans l'usage alimentaire des graines ou l'extrait de coque sèche ou même d'opium brut par des bergers et des paysans dans le seul cadre de leur consommation médicamenteuse et en l'absence de tout autre produit stupéfiant, le mésusage et la dégradation des sites et des spécimens est sanctionné chez les personnes ne sachant généralement pas quelle variété elles utilisent ni à quelle fin médicale exacte elle peut être destinée (absence de relation traditionnelle avec le cultivar)


Certaines variétés sont protégées pour leur rareté, d'autres sont réglementées par communes (pavot blanc ou variétés horticoles) et d'autres poussent de manière parasite sur des terrains privés (champs, tout comme le coquelicot) et leur prélèvement relève alors de l'effraction et du vol qualifié qui aggrave la hauteur des sanctions ainsi que les mesures de veille et de prévention (décrets d'arrachage, mise en place d'observatoires et d'action policière...)


C'est finalement le comportement individuel qui façonne et alourdit la réglementation effective sur les pavots depuis les conventions uniques de 1961 et 1971 sur les stupéfiants. Chaque nouveau décret limitant les usages ou les accès au pavot depuis les années 1970 est la conséquence d'une déviance ou encore d'une infraction grave constatée au niveau médical ou judiciaire (effraction, revente, addiction, prosélytisme et indiscrétion, consommation en groupe festif perturbateur (phénomène resté discret et méconnu du public tant dans le mouvement hippie que dans les milieux toxicomanes de la fin du XXe siècle manipulant le rachacha ou méconium en tant que produit, succédané et substitution d'arrêt ; il a connu un engouement plus candidement tapageur avec les free parties du début du XXIe siècle, entraînant sa médiatisation), polytoxicomanie (certaines drogues de synthèse comme l'ecstasy, et plus encore selon sa pureté, s'avèrent toxiques au point que l'emploi d'opiacé est suggéré par les utilisateurs pour calmer les forts troubles nerveux des descentes), intoxications (dangers par overdose des produits opiacés, toxicomanie)...).


DEPUIS QUE LE G-8 EST LÀ

L'Afghanistan est le premier producteur mondial d'opium depuis 1991 (devant la Birmanie et le Laos, lequel a récemment perdu sa troisième place au profit du Mexique). La production afghane avait presque entièrement été supprimée par les talibans en 2000-2001 (185 tonnes) mais elle a repris de plus belle après leur chute : avec le record historique de production de 2007 (8 200 tonnes), c'est 93 pour cent de la production illicite mondiale estimée par les Nations unies que l'Afghanistan a produit[25]. Toujours selon les Nations unies, la culture du pavot en Afghanistan devrait se maintenir ou même légèrement décroître en 2008

Le G-8 de la drogue


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