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vendredi 14 octobre 2011

CÉGEPS ANTI-MILITARISTES

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Pour les visuels, cliquez ici ----> Humanité Reine

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À LIRE ET RELIRE

Bonjour, je vous partage cette information faites par Karen Juliette Lalonde, 12 octobre 2011, article copié dans L'aut' hebdo - 14 octobre 2011

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Les écoles peuvent faire des merveilles pour la jeunesse, mais aussi l’exact contraire. Cela dépend entièrement du type d’éducation qui est jugée appropriée.

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Des militaires dans nos établissements scolaires, même à la maternelle

Je m’appelle Karen Juliette et je suis née, le 23 décembre 1980, l’une de ces journées très froides du Québec, en Montérégie, dans un petit village près de la frontière ontarienne.



J
e suis, depuis un peu plus de trois ans, impliquée dans une campagne nationale d’opposition au recrutement militaire dans nos établissements scolaires, nommée Opération Objection.

Nous savons que la précarité économique et la perception d’un avenir sans opportunité peuvent facilement pousser nos jeunes à s’enrôler dans les Forces, à défaut d’autres financement pour leurs études et inspirations de carrière, mettant ainsi leurs vies en danger, et ce, pour des interventions aux raisons purement capitalistes, surtout les cartels du pétrole.


Nous savons aussi que des directions d’écoles, des enseignants et des conseils d’établissements, donc, par le fait même, le ministère de l’Éducation, des Loisirs et du Sport du Québec, permettent à des militaires en uniforme de visiter nos écoles et de s’adresser directement à nos jeunes.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, l’armée a un programme d’intéressement à la ligue navale des cadets, spécialement conçu pour les 9 à 12 ans. Tout récemment, j’ai aussi appris qu’un autre de leur programme est destiné aux tout petits de la maternelle.


Nous croyons que la jeunesse québécoise devrait avoir accès à une éducation financée par le gouvernement et qu’elle demeure dans un but civil, mais les coupures budgétaires dans l’éducation de votre gouvernement ne font qu’aggraver la situation.

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Le commandant en chef des Forces canadiennes a donné l’ordre à tous les militaires de participer activement au recrutement de la jeunesse en 2006. Les militaires appellent aujourd’hui les enseignants sous les drapeaux : ils doivent contribuer aux efforts de recrutement, dont les cibles sont de plus en plus jeunes. C’est maintenant dès la maternelle que doit se faire la valorisation de l’engagement dans l’armée. Voilà ce que confirme la nouvelle démarche pédagogique, destinée aux enseignants du préscolaire, du primaire et du secondaire publiée par la Défense Nationale à l’occasion du Centenaire de la Marine Canadienne.


Lors de la dernière leçon du programme, suite à diverses activités de valorisation de l’armée, on demande aux élèves : « Prévoyez-vous vous joindre un jour à la Marine ou aux cadets ?». Comment cette question peut-elle mener à une prise de position libre et éclairée d’un enfant de 5, 7 ou 9 ans ? N’est-ce pas plutôt une forme de manipulation, où l’on suggère directement la réponse ? Cet effort de promotion de l’engagement militaire s’adresse à un public vulnérable, auquel on omet de fournir les informations complètes nécessaires à une prise de position éclairée. Les enseignants de nos écoles publiques devraient-ils servir à l’embrigadement militaire ?

Le plus odieux, c’est l’intention de mobiliser les enseignants pour identifier, dès la maternelle, des recrues potentielles de la Marine et de son aile jeunesse : les corps de cadets. D’un océan à l’autre, ce sont 3 500 enfants de 9 à 12 ans qui sont enrôlés au sein des cadets de la Ligue navale. Lorsqu’ils atteignent la sixième année du primaire, ces jeunes sont ensuite sollicités pour gonfler les rangs de plus de 10 000 cadets de la Marine royale canadienne âgés de 12 à 18 ans. Combien de ces cadets font par la suite la transition pour devenir militaires ? Le bureau des cadets refuse de le dire.


Un organisme civil ?

Le Ministère de la Défense Nationale présente les corps de cadets comme étant « un organisme communautaire et bénévole consacré au développement des ressources, de la vitalité et du leadership chez les jeunes Canadiens ». Dans les faits, cet organisme dépend totalement de l’armée. Il est dirigé à partir des bases militaires et du quartier général de la défense nationale, et les hautes sphères de son commandement relèvent entièrement des Forces Canadiennes. Les corps de cadets de la Ligue navale bénéficient d’infrastructures, de personnel et de financement militaire. Le financement reçu provient majoritairement d’une subvention du ministère de la Défense, de cotisations des autres corps de cadets et de contributions de diverses organisations militaires, dont un fonds « en vertu duquel 17 entreprises de défense doivent verser une cotisation annuelle ». Selon le dernier rapport quinquennal d’évaluation des ligues de cadets, la principale subvention du Ministère de la défense a été renouvelée dans le but d’« améliorer l’accès à des informations cohérentes et fiables entre la Ligue navale et l’armée, prévenir ainsi la mésinformation et augmenter le nombre de cadets et de bénévoles ». Dans ce contexte, comment peut-on parler d’organismes réellement civils, communautaires et bénévoles ?


Vers la conscription par la pauvreté ?

L’intéressement au domaine militaire par des activités gratuites de loisir attire particulièrement les jeunes des quartiers défavorisés des milieux urbains, tout comme ceux qui habitent des régions à l’économie chancelante. Le rapport de la Défense conclut : « que les collectivités plus petites offrent généralement moins de programmes officiels pour l’épanouissement des jeunes Canadiens que les grands centres. Il est donc clair que les ligues de cadets ont eu un impact sur les collectivités où les opportunités sont moins nombreuses. Les ligues ont atteint les jeunes Canadiens, leur facilitant ainsi l’accès au Mouvement des cadets ». Ainsi l’armée, grâce à son financement colossal, est en mesure d’offrir un programme jeunesse sur l’étendue du territoire canadien, ce qu’aucun autre organisme bénévole n’a les moyens de faire.

Soulignons que Ligue Navale du Canada est également un lobby militariste. L’institution vise à influencer la prise de décision politique en faveur de l’investissement dans la marine. En plus de son mandat d’accroître le niveau de soutien à l’égard du Mouvement des cadets, la Ligue Navale est membre de la Conférence des associations de la défense, le plus puissant lobby militariste au Canada, dont on voit les régulièrement les porte parole commenter l’actualité dans les médias. Quand un jeune s’enrôle dans les cadets de la ligue navale, il doit adhérer à ce lobby en plus de porter allégeance à la reine du Royaume-Uni. Dans le formulaire d’inscription des enfants de neuf ans dans les cadets ont peut lire : « je promets de faire honneur à la reine, de me conduire de façon à honorer mon pays … et de donner mon appui à la Ligue navale du Canada au meilleur de mes capacités ». Manifestement, l’engagement militaire débute à la petite école.

C’est sous le slogan « Commémorons, célébrons et engageons-nous », qu’est souligné le centenaire de la marine canadienne jusque dans les écoles primaires. Face à une population réfractaire à l’engagement dans des guerres d’invasion, l’armée doit raffiner ses techniques de recrutement. On finance donc, à grands frais, l’endoctrinement militaire en très bas âge.

Célébrons cent ans à endoctriner nos jeunes pour la guerre.

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Le militarisme surfe sur la haine. Les lieux publics peuvent être utilisés pour marquer un conflit et distiller dans la vie quotidienne des informations qui rappelle à chacun/e le conflit et la haine. Les institutions sont au centre de la vie publique et les écoles peuvent servir à marquer le conflit et à servir pour perpétuer la haine et la violence.

Les écoles sont un terrain propice à la militarisation : une audience soumise, une mission étendue, une structure hiérarchique, et un écart de pouvoir clair entre les étudiant/e/s et les professionnel/le/s. On peut aisément transformer des écoles en institutions paramilitaires.
Le militarisme n'est pas transmis ou entretenu directement par l'armée. Ce sont plutôt les écoles, et les autres institutions civiles, qui laissent pénétrer la militarisation dans les pratiques quotidiennes et dans les systèmes de croyance. Contrairement au service militaire obligatoire, la systématisation de l'école est très importante et elle dure : la scolarité obligatoire s'étend quasiment partout à presque tous les enfants (filles comme garçons), et ce pendant de longues années. L'école peut distiller la militarisation dès le plus jeune âge, cinq ou six ans.


L'école comme camp d'entrainement

Un établissement scolaire type comporte les éléments de la militarisation : la domination, la soumission, la discipline et la violence. La violence envers les étudiant/e/s produit de la violence entre les étudiant/e/s, et cette dernière est utilisée pour justifier la violence institutionnelle de type militariste.

Les cours d'éducation physique sont l'espace d'apprentissage de l'ordre militaire : former un rang, marcher à l'unisson, etc. Dès le plus jeune âge, les élèves apprennent à se mettre au garde à vous dès qu'il en est fait appel. Un élève moyen se met au garde à vous un nombre incalculable de fois au cours de sa scolarité, en primaire comme au secondaire.
Les élèves sont comme des soldats d'infanterie. Ils et elles peuvent être au repos en l'absence d'adultes mais ils doivent le respect, lequel commence par la soumission. Les étudiant/e/s doivent se lever à l'entrée d'un/e enseignant/e. Les programmes insistent sur les devoirs et les obligations bien plus que sur les droits et les libertés.

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VOICI UN AUTRE DOCUMENT


MONTRÉAL, le 29 août / La Coalition contre le recrutement militaire dans les établissements d’enseignement dénonce les nouvelles pratiques de recrutement de l’armée auprès des jeunes en bas âge. Les syndicats enseignants, associations étudiantes et organismes citoyens membres de la Coalition condamnent spécialement les initiatives de recrutement dans les écoles primaires lancées à l’occasion du centenaire de la marine canadienne.

La marine fait maintenant appel aux enseignants pour faire la promotion de l’engagement militaire dès la maternelle. C’est ce que confirme la nouvelle démarche pédagogique de l’armée destinée aux écoles primaires et secondaires. Les enseignants sont notamment invités à faire venir des recruteurs dans les salles de classe, à présenter des vidéos de recrutement, à valoriser l’engagement dans les cadets de l’armée et même à organiser des visites des bases militaires.

« Il est pour le moins alarmant de remarquer que l’armée recrute, dans nos écoles publiques, des jeunes d’âge mineur », s’inquiète Daniel B. Lafrenière, secrétaire-trésorier de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). « Au lieu de constituer des lieux d’embrigadement pour l’armée, les établissements scolaires devraient être des lieux d’éducation à la paix. »

« L’armée vise clairement à mobiliser les enseignantes et enseignants pour diriger, dès la maternelle, les enfants vers la marine et ses ailes jeunesse que sont les corps de cadets. Jamais nous ne collaborerons à cette initiative d’endoctrinement des jeunes pour la guerre ! », dénonce quant à elle Monique Pauzé, présidente du Syndicat de l’enseignement de Champlain affilié à la CSQ.


Au cours de l’année scolaire à venir, la CSQ poursuivra sa campagne d’opposition sous le thème « Faites l'école, pas la guerre ! » avec ses syndicats affiliés. Le lancement de cette campagne l’an dernier a fait fortement réagir les structures militaires jusqu’au sommet de la chaîne de commandement, ce qui témoigne de son succès à contrer le recrutement dans les écoles et à sensibiliser les jeunes aux questions de paix.

(HONTE SUR NOUS)

Dès l’âge de neuf ans, les enfants sont sollicités pour joindre un mouvement militaire pour enfants : les Cadets de la Ligue navale. Les jeunes qui s’y joignent portent l’uniforme militaire, côtoient des instructeurs formés par l’armée et participent à des activités sur les infrastructures militaires. On peut d’ailleurs constater que de nombreux cadets font la visite du navire de guerre NCSM Fredericton présent dans le Vieux-Port de Montréal aujourd’hui. Ils sont ainsi exposés aux outils de guerre, conditionnés à l’obéissance et même initiés au maniement des armes.

« Les armées de par le monde sont associées à l'augmentation de la violence envers les femmes dans la sphère privée et au viol comme arme de guerre. Nous ne voulons pas exposer nos enfants à ce qui nous apparaît comme une culture machiste au moment même où ils et elles sont en pleine construction de leur identité » ajoute Alexa Conradi, présidente de la Fédération des femmes du Québec. Mentionnons que la Marche mondiale des femmes revendique l’interdiction du recrutement dans tous les établissements d’enseignement.

« L’armée prétend offrir aux jeunes l’éducation à la citoyenneté via les corps de cadets et ses visites dans les écoles. Dans les faits, elle profite du désir des jeunes d’œuvrer pour la paix alors qu’elle les prépare à s’enrôler pour des opérations offensives », affirme Élaine Bertrand, vice-présidente de l’Alliance des professeures et professeurs de Montréal.

« L’armée canadienne exploite tous les moyens possibles pour attirer la jeunesse dans sa plus grande campagne de recrutement depuis la Seconde Guerre mondiale. Nous allons contrer ses initiatives de propagande jusque dans nos écoles primaires », ont conclu les représentants de la Coalition.

Lancée en 2009, la Coalition contre le recrutement militaire dans les établissements d’enseignement regroupe le Centre des ressources sur la non-violence, la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec (FNEEQ-CSN), l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ), la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ), et maintenant s’ajoutent la Fédération des femmes du Québec et l’Alliance des professeures et professeurs de Montréal.

Renseignements : Alexandre Vidal, Centre de ressources sur la non-violence, 514-806-6980

Yves Parenteau, Alliance des professeures et professeurs de Montréal, 514-910-3195

Martin Cayouette, Syndicat de l’enseignement de Champlain, 514-220-9257

Daniel Bussières, CSQ, 514-213-6468

Photos et compléments d’information disponibles sur www.AntiRecrutement.Info

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Les parents aliénés et vaniteux qui sont fiers que leurs enfants soient des soldats-tueurs qui iront tuer d'autres parents.....



14 av. 2011. Le Cégep d'Alma veut interdire le recrutement militaire dans ses murs

L'Association étudiante du Cégep d'Alma demande à la direction du collège d'interdire les journées de recrutement militaire à l'intérieur de ses murs.

La proposition présentée par un étudiant, Thomas Laberge, a obtenu l'appui à l'unanimité des gens présents à l'assemblée générale des gens présents à l'assemblée générale.

« Il y a une question de valeurs. On trouve que l'armée ne propage pas des valeurs qui sont acceptables dans un milieu d'éducation. On sait que l'armée c'est pour faire la guerre, pour tuer des gens et nous on est contre ça », affirme M. Laberge.


L'étudiant accuse le ministère de la Défense nationale de manquer de transparence. Il affirme que les recruteurs ne présentent que le bon côté des choses. « L'armée leur dit que leur éducation va être gratuite, mais il y a beaucoup de conditions qui sont rattachées à ça et l'armée ne les met pas de l'avant », ajoute Thomas Laberge.


L'association étudiante a également obtenu l'appui du syndicat des professeurs.


Le projet sera présenté au conseil d'administration du Cégep d'Alma le 2 mai prochain. S'il est accepté, le collège sera le premier établissement de la région à interdire le recrutement militaire.

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P.S.

14 avril 2011 à 22 h 14 HAE

-On oublie aussi de mentionner un point important de l'argumentaire de l'AÉCA, c'est-à-dire les hausses de frais de scolarité qui viennent créer un paradoxe gênant avec le recrutement militaire. Car cette proposition d'interdire l'entrée aux recruteurs militaires est en lien direct avec lesdites hausses de frais. C’est apparent comme un nez au milieu du visage qu'une "scolarité militaire", ridiculement plus abordable qu'une scolarité standard, puisse paraître envisageable aux yeux d'un étudiant qui ne pourra se permettre de payer des frais universitaires qui ne cessent de grimper et deviennent de plus en plus hors de prix pour une masse de plus en plus grimpante, elle aussi.


Autrement dit, les pauvres s'enrôleront, les riches s'éduqueront.

http://s1.e-monsite.com/2010/07/17/75572989cons-pas-braves-gif.gif

MÊME POUR 100 MILLIONS $ JE NE TE TUERAI JAMAIS, MÊME SI J'ÉTAIS PAUVRE ET DÉPRIMÉ QUE DIEU ME GARDE DE FAIRE DU MAL À UNE PERSONNE HUMAINE ET MÊME SI CETTE PERSONNE EST MAUVAISE

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FFQ.... FÉDÉRATION DES FEMMES DU QUÉBEC: félicitation pour votre PUB courageuse et responsable qui dénonce l'enrôlement de nos enfants dans l'Armée

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Enfin des groupes de femmes dénoncent la guerre

La Fédération des Femmes du Québec a créé ce vidéo dénonçant l'Armée Canadienne qui enrôle des jeunes dans les Écoles du Secondaire


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Nous les bourgeois nous ne voulons plus vous entendre nous critiquer; nous voulons la paix et vous exploiter sans avoir à endurer vos critiques et vos regards accusateurs. Taisez-vous donc, vous dérangez Monsieur l'Exploiteur et ceux qui tiennent leurs poches....

Mettons tous les soldats en prison ou leurs dirigeants ou....

Dirigeants Internationaux: vos enfants et les enfants de vos petits enfants vivront dans la honte si vous n'éliminez pas la pauvreté


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Gras



UN SOLDAT C'EST UN TUEUR potentiel qui tue sur simple ordres, tel UN TUEUR SUR GAGES. Et l'effet de tuer au nom d'un drapeau ne peut effacer le sang des victimes qui les salit. ''Un militaire c'est un criminel en puissance'' et les profiteuses qui s'acoquinent avec des militaires (tueurs) ne sont guère mieux.... ''qui s'assemblent se ressemblent''..... elles se tiennent avec des tueurs et en même temps elles osent accuser et mépriser des humanistes et..... et, et, lorsque leurs amoureux sont tués ou blessés, là elles sont bouleversées que leurs ''héros'' soient mortels....Sachez, mesdames, que ''L'ENNEMI'' c'est aussi un père ou une mère de famille et qui vous voient aussi comme ''ennemi(e)s'',.... Il n'y a a pas d'autres ''ennemi(e)s'' que nos mentalités d'être contre toutes formes d'entraides, de partages (de la Sur-Production Mondiale), de gratuités....! Et oui, les hiérarchiser du G-20 sont tous conditionnés par leurs Médias et leurs Écoles au ''NON-PARTAGE''..... avouer cela c'est déjà commencer à s'en déprogrammer.

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Le mari de la mari de la reine Élisabeth 11, le prince Philip, avait dit : ''J'aimerais me transformer en un VIRUS MORTEL pour dépeupler la terre''. Vous voyez que ce sont des malades qui nous gouvernent, et dire que 25 millions de soldats dans le monde font Allégeances à la Couronne Britannique directement et indirectement car bien des Pays comme le Canada et les pays Arabes sont des Dominions Britanniques mais trop croient que la reine n'est qu'un symbole (l'erreur des naïfs).

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La guerre, no, Sir!



ARTICLE - 30 août 2007



Martin Petit: "Les Forces sont des pros pour embellir la laideur."

Alors que ça barde pour les soldats québécois en Afghanistan est publié Quand les cons sont braves, écrit par Martin Petit, un ancien combattant de 38 ans devenu pacifiste. Voilà le récit cru de ses 14 années de service dans les Forces canadiennes.

Vous dites avoir écrit ce livre à des fins thérapeutiques. Ça fonctionne?

Martin Petit: "Ça m'a beaucoup aidé. Je fais également une psychothérapie. Avec le temps, je suis venu à bout de trancher le noeud gordien qu'était devenue ma vie. Écrire ce livre a été une libération. Il y a des choses que j'ai écrites dont je n'avais jamais parlé à personne. À l'époque, je ne voulais pas inquiéter mes proches."

Outre son aspect curatif, votre livre est vraisemblablement une dénonciation ou du moins un avertissement.

"Effectivement, je ne veux pas que la vérité soit camouflée. Ça me fâche de voir des campagnes de recrutement qui laissent croire que dans l'armée, tout est tellement beau. Leur slogan, c'est: "Combattez avec les Forces"; le mien, c'est plutôt: "Combattez les Forces". Je veux briser la loi du silence."

Ce silence, que cache-t-il?

"Les Forces sont des pros pour embellir la laideur. Encore ce matin, j'ai vu à la télé un soldat dans la jeune vingtaine qui racontait que c'était l'fun, être en Afghanistan, alors qu'un de ses frères d'armes venait de crever. Évidemment, c'est faux! Ce n'est pas toujours amusant être dans l'armée, loin de là. Je veux éviter à d'autres jeunes qu'ils finissent dans un cercueil pour rien. Mieux on est informé, mieux on peut réagir.

L'an dernier, j'ai donné une conférence dans un organisme communautaire. Au sortir de cette soirée-là, je crois qu'il n'y en a pas un seul qui ait osé s'enrôler dans les Forces. Je leur ai simplement raconté la vérité de ce qui se passe sur le terrain."

Que s'y passe-t-il de si terrible?

"Il y a tellement de choses que les gens ne savent pas. Ce qui s'est passé en Somalie par exemple, ça a été laissé à l'oubli. Je me rappelle la fois où un de mes confrères a cruellement donné une bouteille de Tabasco à un jeune Somalien qui demandait de la bouffe. Le pauvre s'est mis à boire la bouteille, et le soldat riait comme un fou de le voir se brûler. Mais ça, c'est peu. Il y avait bien pire. Comme des soldats qui se vantent entre eux d'avoir tué un autre "nègre". En Somalie, il y a eu des actes de racisme et de barbarie effrayants de la part de nos troupes. Je suis certain qu'il reste encore plein de corps enfouis dans le désert."

Cette violence, à quoi est-elle due? Est-ce que c'est l'armée qui rend les gens fous, ou ce sont des fous qui s'enrôlent dans l'armée?

"Je ne sais pas. J'ai de la difficulté à m'expliquer comment un homme qui est très bon avec sa femme et ses enfants est capable de commettre de telles atrocités sur d'autres gens. Ce que j'ai vu en Somalie m'a jeté par terre, totalement. À l'époque, je n'ai pas dénoncé parce que dans l'armée, on ne dénonce pas. Un soldat qui vend voit ses beaux jours comptés."

Pourquoi vous êtes-vous enrôlé?

"Je ne suis peut-être qu'un con d'idéaliste, mais mon but était d'aller aider les gens."

Vous vous dites maintenant "farouchement pacifiste". Mais puisque vous étudiez actuellement pour être professeur d'histoire, vous n'êtes pas sans savoir que la guerre a toujours existé et qu'elle ne disparaîtra pas. N'est-il pas simpliste d'être pacifiste?

"Je ne dis pas que la guerre est toujours inutile. Par exemple, lors de la Deuxième Guerre mondiale, il fallait faire quelque chose pour stopper l'expansion du nazisme. En revanche, ce qui se passe en Afghanistan, c'est une saloperie qui est liée aux compagnies de pétrole, ce n'est pas utile. Même chose pour bien des conflits auxquels j'ai participé. Comme je dis souvent: "faites l'amour, pas la guerre." J'espère sincèrement que ça puisse arriver un jour."

Vous vivez actuellement grâce à une rente de l'armée. N'est-ce pas effronté d'écrire un livre contre ceux qui vous payent?

"Je ne crois pas. Les Forces armées le méritent, elles en mènent trop large en ce moment. Une tape sur la gueule, parfois, ça fait du bien. Je crois que c'est très pertinent d'ouvrir les yeux des gens qui pensent à s'enrôler."

On sent beaucoup de rage et d'amertume dans votre écriture. Êtes-vous encore en colère?

"Je dis dans mon livre que je n'ai plus de rancune envers l'armée, mais ce n'est pas vrai. Je les déteste. Quand je les vois embaucher des jeunes hommes de 17 ans trop jeunes pour voter, boire et fumer, mais assez vieux pour être envoyés en Afghanistan et revenir tout croches, ça me tue."

Quand les braves sont cons. Mon parcours dans l'armée canadienne, vlb éditeur, 2007, 272 p.

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Autrs articles sur Martin Petit

Quand les cons sont braves


La complainte du soldat Petit

L’ancien simple soldat dénonce la propagande du ministère de la Défense qui veut faire croire que la profession des armes est louable et agréable

Par Louis Cornellier, Le Devoir - Martin Petit a été simple soldat de l’armée canadienne pendant quatorze ans. Il a participé à des missions au Qatar, en Croatie, en Somalie, en Krajina et en Bosnie. Contrairement aux soldats Longtin, Duchesne et Mercier, morts en Afghanistan en août dernier, il a eu la chance d’en revenir. Aujourd’hui, il raconte son expérience. Son livre, Quand les cons sont braves, est un témoignage. Il doit donc être reçu comme un point de vue parmi d’autres. Exempt de sensationnalisme, il dégage toutefois un parfum d’authenticité qui lui donne sa valeur.

Deux raisons ont motivé Petit à écrire ce livre. « J’ai besoin, avoue-t-il, d’une purge intérieure pour retrouver la paix et l’harmonie qui m’ont quitté il y a quelques années. C’est à des fins thérapeutiques que je rédige ce bouquin, mais aussi et surtout pour contrer la désinformation et la propagande véhiculées par le ministère de la Défense qui veut faire croire à de jeunes hommes et femmes que la profession des armes est louable, voire agréable. » À l’heure où l’attitude militariste du gouvernement Harper peut donner l’impression aux Canadiens qu’ils sont assiégés de toutes parts et où, selon L’Actualité (1er septembre 2007), de plus en plus de jeunes Québécois sont attirés par les sirènes des Forces armées canadiennes, le témoignage de Martin Petit arrive à point nommé.

Influencé par la préface de Robert Dôle, on sera tenté de lire cet ouvrage comme un plaidoyer pacifiste. Je ne suis pas sûr que ce soit là la lecture la plus juste qu’on puisse en faire. Petit, en effet, a des mots très durs à l’endroit de l’armée. Il la qualifie de « machine à détruire l’individualité et la pensée libre » et affirme que « nos soldats n’avaient rien à foutre » dans toutes les missions à l’étranger auxquelles ils ont participé, y compris à Dieppe, en Normandie, et en Afghanistan. « Martin, écrit Dôle, sait que les Québécois sont aux ordres des Canadiens anglais, qui sont aux ordres des Américains, qui sont aux ordres de la Bourse. » Il est vrai que cette vision des choses se rencontre au fil des pages de Quand les cons sont braves, mais il me semble que ce n’est pas elle qui en ressort avec le plus de force.

Petit, au fond, est plus réformiste que radical. Il se prononce moins contre l’armée en général que contre l’état actuel des choses dans l’armée canadienne. Son expérience, bien sûr, l’a déçu, mais quelques-unes des formules qu’il emploie laissent entendre qu’il aurait pu en être autrement, moyennant des changements d’attitude au sein de l’armée.

Jeune et désoeuvré, Petit a été attiré par « le goût de l’aventure, l’appel de l’inconnu, la perspective de voyager, d’être affecté en Allemagne et de pouvoir servir en tant que parachutiste au sein des troupes d’élite du régiment aéroporté » que l’armée lui offrait. Il a, au sein de cette dernière, trouvé tout cela, mais bien d’autres choses encore qui ont mené à son profond désenchantement.

Il a découvert, notamment, le machisme et l’anti-intellectualisme qui imprègnent la culture militaire. Chez les simples soldats, le fait d’avoir fréquenté le cégep ou l’université attire les sarcasmes, lire un livre est mal vu et écrire est « un vilain défaut ». Être fatigué ou malade est considéré comme de la lâcheté.

Être francophone n’est pas non plus de tout repos. Les soldats anglophones, semble-t-il, tolèrent mal les manifestations de fierté nationale des Québécois et les officiers qualifient de traîtres les militaires tentés par le souverainisme. « Rappelez-vous qui vous paie ! », leur a-t-on dit en 1995. À Petawawa, le 24 juin 1994, Petit et un ami ont défilé dans le village avec un drapeau fleurdelisé. « Sur notre chemin, écrit-il, on nous a gratifiés d’appels de phares, de coups de klaxon, de doigts d’honneur ainsi que d’insultes. C’étaient sans doute des gens qui participeraient au love-in d’octobre 1995 à Montréal. »

Oubliez, nous dit Petit, les discours pompeux des politiciens sur les vertus des simples soldats. Au sein des forces canadiennes, ces derniers sont plutôt traités comme de « pitoyables étrons dont on se débarrasse en tirant la chaîne de l’oubli, des sous-merdes ». En mission, on leur fait avaler des médicaments aux effets secondaires pour le moins douteux et on ne leur fournit pas les moyens nécessaires à l’accomplissement de leur tâche. En Croatie et en Serbie, par exemple, intégrés aux forces de l’ONU, les soldats canadiens doivent respecter des politiques d’ouverture de feu qui les condamnent à l’impuissance. « Le béret bleu que nous portions, constate Petit, était devenu un objet de plaisanterie en Bosnie. »

Accusations

Plus inquiétant encore, le témoignage de Petit illustre l’état de relative désorganisation qui caractérise la direction des forces canadiennes envoyées en mission.

Ce manque de leadership, souligne-t-il, ouvre la porte à des dérapages dont seuls les sous-fifres et leurs victimes font les frais. En Somalie, par exemple, des ordres ambigus ont mené certains soldats à se livrer à une abominable « chasse aux nègres » qui a sali la réputation de l’armée canadienne. « Les Somaliens, écrit Petit, avaient besoin de gardiens de la paix, et on leur avait envoyé des brutes racistes. » Afin d’éviter que des officiers soient mis en cause, « des hauts gradés de la Défense ont été pris à falsifier des documents, à détruire des preuves, à camoufler des faits ». Résultat : « Le menu fretin au trou, les gros tordus au large. »

Comme bien d’autres de ses semblables, le soldat Petit, pour supporter cet enfer, a abusé d’alcool et de marie-jeanne. Au bout du rouleau, affecté par le syndrome de stress post-traumatique, il a demandé l’aide de l’armée canadienne, qui l’a traité en un encombrant cas psychiatrique pendant quelques années avant de le reconnaître officiellement comme un « névrosé de guerre ». C’est précisément parce que la vie l’intéressait, selon un ancien slogan de nos forces armées, qu’il a tout fait pour quitter cette galère.

Une armée qui n’aurait pas les vilains défauts que l’on vient d’exposer, cela est-il possible ? Aujourd’hui, Martin Petit se dit pacifiste. On le comprend. Quand il évoque, toutefois, la camaraderie qu’il a parfois trouvée au sein des forces armées, le bon comportement de la majorité de ses frères d’armes et les compétences du défunt régiment aéroporté basé à Petawawa et démantelé à la suite d’une scandaleuse initiation, on comprend qu’il plaide surtout pour une réforme en profondeur de l’institution militaire canadienne, afin qu’être brave ne rime plus avec être con.

Quand les cons sont braves, Mon parcours dans l’armée canadienne par Martin Petit, VLB, Montréal, 2007, 272 pages.

Source : Le Devoir, le 1er septembre 2007.




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La promotion du militarisme chez les tout petits

Il y a un âge où les enfants peuvent être facilement impressionnés, où la construction de leur personnalité est facilement influençable et où il n’est pas toujours possible de discerner clairement la réalité de la fiction.

C’est ce que les compagnies de marketing ont compris, tout comme notre gouvernement qui a réagi en encadrant la publicité s’adressant aux enfants. Par contre, les portes demeurent ouvertes à la promotion de l’armée dans de nombreuses écoles primaires du Québec.

Certains enseignants du primaire, et même parfois des directions d’école et des conseils d’établissements, permettent à des militaires en uniforme de visiter leur école et de s'adresser directement aux élèves. Ces invités sont alors dépeints comme des artisans de paix et on leur donne l’occasion de présenter leur vision du conflit en Afghanistan et le rôle qu’ils y occupent.

On retrouve des campagnes d’écriture de lettres d’appui aux militaires en Afghanistan sont organisées dans de nombreuses écoles, habituellement dans les semaines précédant Noël. On retrouve également dans plusieurs écoles des activités annuelles organisées pour souligner le jour du Souvenir (11 novembre) ou encore la Journée internationale de la paix (21 septembre) auxquelles participent des soldats de l’unité de Réserve locale. Dans bien des cas, ces activités sont accompagnées d'utilisation dans les classes de matériel dit "éducatif" de promotion du militarisme qui a été conçu par l'armée. Ce matériel prend la forme de leçons préconçus pour les enseignants, la présentation de vidéos de recrutement, la participation à une cérémonie militaire et la distribution de matériel promotionnel conçu par les centres de recrutement de l'armée.

Évidemment, de nombreux enfants ressortent de cette expérience en percevant les militaires comme des héros et des modèles à suivre. Cette impression de jeunesse jouera forcément un rôle lorsque, arrivés à l’école secondaire, ces mêmes jeunes seront sollicités à s’enrôler. L’appel du général Hillier selon lequel « Le recrutement est l’affaire de tout le monde » et que tous les militaires doivent recruter dans leur communauté va très loin.

Des enfants-militaires de neuf ans au Québec ?

Aussi surprenant que cela puisse paraître, l’armée sollicite des enfants aussi jeunes pour son programme d’intéressement à la ligue navale des cadets. Il s’agit d’un programme spécialement conçu pour les 9 à 12 ans où l’on retrouve une panoplie d’exercices d’initiation à la vie de cadets (les jeunes portent d'ailleurs un uniforme militaire et effectuent des activités inspirées des occupations des réels militaires). L’objectif est évidemment d’inciter les participants à joindre les cadets et, par la suite, l’armée. À quand le recrutement militaire dans les centres de la petite enfance ?


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